"Je connais mes limites, ma ligne rouge à ne pas franchir. Je ne ressens pas le besoin de remporter une étape, je veux d'abord épargner mon équipe" (18 juillet)
"J'ai confiance, mais je ne suis pas à l'abri d'une défaillance" (18 juillet)
"Je pense quand même que cet ennui de santé ne devrait pas m'empêcher de défendre mes chances jusqu'à Paris. Il faudrait une dégradation brutale, une rupture, pour que j'arrête.""Et le plus important pour moi est d'économiser mon équipe le plus possible." (13 juillet)
"J'ai confiance, mais je ne suis pas à l'abri d'une défaillance" (18 juillet)
"Je pense quand même que cet ennui de santé ne devrait pas m'empêcher de défendre mes chances jusqu'à Paris. Il faudrait une dégradation brutale, une rupture, pour que j'arrête.""Et le plus important pour moi est d'économiser mon équipe le plus possible." (13 juillet)
Ce matin s'annonçait sans avoir rien à déclarer. Je me trompais jaunement. L'ami Floyd a lamentablement perdu son tour ce matin.
Onnnnnnnnnnnnnhhhhh !!! Que je suis triste. Je n'aime pas les coureurs qui attendent les erreurs et les défaillances des autres pour gagner. Pour gagner, il faut prendre les devants, il faut attaquer quitte à écraser ses adversaires. "Tant pis pour eux, ils n'avaient qu'à me suivre." Armstrong avait cet instinct du tueur, Landis ... non. Il a pourtant eu toutes les chances du monde d'attaquer durant ce tour. Dans les Pyrénées, dans l'Alpe d'Huez hier. Eh non, il a préféré garder l'oeil sur Klöden plutôt que de l'attaquer. Ce n'est pas en regardant le train passer que l'on embarque. Eh bien aujourd'hui en terminant à un peu plus de 10 minutes de Rasmussen, le danois aux cuisses de poulet, il pourra le regarder d'en bas et tiens pourquoi pas de chez-lui.
Remarquez que ça faisait presque pitié de le voir monter péniblement quand l'attaque de Sastre l'a largué. On avait presque l'impression qu'il voulait mettre son vélo dans l'autre sens et redescendre au plus sacrant ! Il lui reste encore demain pour tenter l'impossible. Mais est-ce vraiment réaliste ? Je doute qu'il puisse revenir et officialiser (mahdj) son statut de grand favori.
Z'auriez pas vu mon Hincapie ??
Le mot inutile du jour : Contrister : Attrister par compassion de la tristesse d'un autre.
Onnnnnnnnnnnnnhhhhh !!! Que je suis triste. Je n'aime pas les coureurs qui attendent les erreurs et les défaillances des autres pour gagner. Pour gagner, il faut prendre les devants, il faut attaquer quitte à écraser ses adversaires. "Tant pis pour eux, ils n'avaient qu'à me suivre." Armstrong avait cet instinct du tueur, Landis ... non. Il a pourtant eu toutes les chances du monde d'attaquer durant ce tour. Dans les Pyrénées, dans l'Alpe d'Huez hier. Eh non, il a préféré garder l'oeil sur Klöden plutôt que de l'attaquer. Ce n'est pas en regardant le train passer que l'on embarque. Eh bien aujourd'hui en terminant à un peu plus de 10 minutes de Rasmussen, le danois aux cuisses de poulet, il pourra le regarder d'en bas et tiens pourquoi pas de chez-lui.
Remarquez que ça faisait presque pitié de le voir monter péniblement quand l'attaque de Sastre l'a largué. On avait presque l'impression qu'il voulait mettre son vélo dans l'autre sens et redescendre au plus sacrant ! Il lui reste encore demain pour tenter l'impossible. Mais est-ce vraiment réaliste ? Je doute qu'il puisse revenir et officialiser (mahdj) son statut de grand favori.
Z'auriez pas vu mon Hincapie ??
Le mot inutile du jour : Contrister : Attrister par compassion de la tristesse d'un autre.
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