mardi 4 août 2009

Retrouvailles


Je ne pouvais manquer un tel évènement. Il fallait que je brave mon ennui des foules (que je cultive seulement depuis quelques années) pour aller m'engouffrer dans ce qui allait sans doute être la plus grosse foule des Franco cette année et voir LE show, celui des Colocs.

Sans Dédé.

Mais Dédé y était.

Dédé était partout.

Dans la voix des invités, dans le corps des Colocs restants (Mike, Vander, les Diouf, les Ben), dans les jambes des milliers de fans qui ont fêté sur la nouvelle Place des festivals. Comme je suis arrivé un peu tard à mon goût, j'ai du me frayer un chemin parmi la masse, mais déjà aux premières notes des Loco et Passe-moé la puck, la magie opérait, ca grouillait de partout, en avant et jusqu'en arrière. Ca dansait jusque sur St-Catherine. Un grand défouloir.

Dédé était pas là mais ceux qui pris sa suite le temps d'un soir, Marc Déry (grandiose et touchant), Martin Léon (ahurissant), Loco Locass (pouvait-on avoir mieux ?), Sébastien Plante, Pierre Lapointe, Paul Piché ont insufflé une dose d'énergie digne de ce qu'était un show des Colocs il y a 10 ans encore. Magique, magique magique. J'avais encore les même frisson et la chair de poule quand Martin Léon a chanté Dehors Novembre, la même envie de sauter partout sur Tout seul, la même envie de raconter l'histoire de Belzébuth.

Soirée parfaite en tout sens. Dédé, les Colocs ... et la pleine lune !

Parait qu'on aurait même vu une comète passer ...

vendredi 31 juillet 2009

La dizaine

Un mois de vacances de passé et il ne reste que deux semaines et quelques avant de reprendre le chemin l'école et préparer une nouvelle année.

Entre temps, il y a place pour beaucoup de lectures. Déjà 10 livres de lus et j'avais envie de vous faire part de mes commentaires sur plusieurs d'entre eux. Pas de giga coup de coeur, mais plusieurs bons coups que vous pourrez ajouter à votre liste de lecture.

Dans l'ordre :

Le temps de la sorcière - Arni Thorarinsson : Roman policier islandais. Pas mal pour un premier roman. Mais comme pour plusieurs auteurs scandinaves, le style et les personnages s'affineront avec les prochains. À suivre.

Je ne comprends pas tout - François Gravel
: Magnifique roman qui se lit d'une traite. Fin, doux, troublant et sensible. On ne comprendra pas tout mais beaucoup.

Maudit Karma - David Safier
: Si vous aimez les Musso ou Levy, ce livre est pour vous. Amour, humour, touche fantastique. Lecture bonbon par excellence. De bons moments.

Le vieux qui lisait des romans d'amour - Luis Sepulveda
: Plus difficile mais court roman. Pas mon préféré de l'été mais vaut quand même le détour.

Photo hanté - Stefan Petrucha et Thomas Pendleton
: Roman jeunesse fantastique. Rythmé, intrigant et fascinant. On nage en plein mystère. Très bonne lecture dans le genre.

La femme de hasard - Jonathan Coe : J'avais toujours aimé Coe. Mais là, je ne sais pas trop. Ma déception à venir jusqu'à présent. Une bonne histoire mais ...

La cagoule - François Gravel
: Court roman jeunesse où un jeune dealer de drogue se retrouve dans une bien étrange maison de transition. Vraiment très très bon.

La bête - Roslund et Hellström : Considéré de la nouvelle génération des auteurs de polars scandinaves, ils marquent d'importants points avec ce premier roman. Avec des passages qui vous feront penser aux Sept jours du talion de Sénécal, la vengeance est au rendez-vous. Le meilleur de mon été. Très hâte d'avoir les prochaines traductions.

Ne fais pas de bruit - Kate Banks : Un autre court roman jeunesse avec cette fois la mort, le désespoir et la quête de sens comme trame de fond. Touchant et réfléchi.

Révélation - Stephenie Meyer : Ainsi s'achève avec ce roman, la série Twilight. Fin intéressante mais je m'attendais à plus grandiose. Ca sent presque la suite non annoncée.

La suite quelque part au mois d'août.

vendredi 24 juillet 2009

Lectures de vélo

Le tour de France est fini ... rien de mieux que de plonger dans les lectures pour adeptes ou non de la monture à deux roues (ou à quatre si jamais vous n'êtes pas super à l'aise ...).

Je vous donne certaines suggestions de livres qui vous permettront de voyager dans l'univers cycliste et que vous pourrez trouver chez un libraire adorable près de chez-vous ou encore à votre somptueuse bibliothèque préférée :

Dernier en liste des publications intrigantes : Le sale tour de Pierre Ballester et David Walsh qui tentent de démontrer que l'entreprise de Lance Armstrong, Livestrong n'est pas tout à fait honorable. Pas lu encore mais dûment réservé à la BANQ ... Ils sont aussi auteurs des L.A. confidentiel et L.A. officiel toujours avides de démontrer que le septuple vainqueur du Tour de France n'est pas blanc comme neige.

Comment ne pas passer à coté de ce merveilleux ouvrage du plus intrigant des chroniqueurs de La Presse, Pierre Foglia : Le tour de Foglia, chroniques française regroupent ses chroniques du Tour de France parues au fil dans ans dans le journal. Un p'tit bijou. Évidemment, vous pourrez y ajouter, en annexe, les chroniques qui se sont ajoutées depuis 2004.

Dans le même genre : Paul Fournel présente Besoin de vélo, un amalgame de plusieurs courts récits sur sa passion du vélo. Il vient d'ajouter à cette liste, Méli-Vélo, abécédaire de la bicyclette.

Il y a aussi les dérivés romanesques comme cet agréable roman jeunesse de Michèle Marineau, Les vélos n'ont pas d'états d'âme. Une histoire d'amour sur fond d'envie de rouler.

Récits de voyage, de longs périples à vélo : Cadence de Mélanie Carrier qui a parcouru 8000 km sur sa monture à travers l'Asie. Ensuite, À vélo jusqu'au ciel de Pierre-Yves Tremblay qui a roulé sur les routes du monde pendant plus de deux ans.

Pour les philosophes : Petite philosophie du vélo de Bernard Chambraz.

Reste les incontournables biographies et autobiographies des grands cyclistes (ou peut-être pas toujours) : Armstrong, Anquetil, Virenque, Jeanson, Pantani, Fignon, etc.

Vous pourrez aussi chercher les ouvrages sur les circuits québécois (la route verte, le réseau des pistes cyclables), sur le Tour de France, sur la mécanique du vélo, sur les méthodes d'entrainement. Bref, ce pourrait être long, mais vous voilà sans doute de quoi garnir votre liste ...

Bonnes lectures.

jeudi 23 juillet 2009

Entendu à Évasion

Bernard Vallet : "Est-ce que Armstrong peut reprendre 1 minute 29 à Lance ?"

Ce serait étonnant ... il est fort mais pas pour reprendre 1:29 à lui-même !

mardi 21 juillet 2009

Les pistes cyclables sont moins sociables (ajout)

Pourtant c'est là, qu'à vélo on y croise le plus de gens. Pourtant, essayer d'y voir un sourire, une salutation, un éclat de rire ... hum ... difficile.

Sortez votre vélo des pistes et rendez-vous sur les petites routes autour de chez-vous. Que vous soyez sur la Rive-Sud, la Rive-Nord, à Laval, à Québec, Sherbrooke ... peu importe, sortez. Vous croiserez des cyclistes et, curieusement, l'attitude change totalement. On vous double, vous en doublez un autre et un bonjour ou une salutation de la main ou de la tête. accompagne l'action. Vous en croisez un qui arrive en sens inverse, même chose. C'est un peu le même phénomène que lorsque vous vous promenez en montagne. Croiser un randonneur entraine aussitôt un bonjour, même s'il est essoufflé. Il y a une camaraderie sous-jacente à rouler ou à ce promener de cette façon là. Manière de dire : heille, on est content d'être là et de partager une même passion.

Sur la piste cyclable, ca semble parfois être moins une passion qu'un loisir : faut sortir et se bouger le derrière. Allons socialiser entre nous mais pas entre les autres. On veut rien savoir des autres. C'est toujours sur ces bouts d'asphalte que vous allez croiser des amis des couples qui roulent cote à cote sans se soucier, mais alors là, pas du tout, de ce qui arrive derrière. Vous voilà pris à ralentir bruyamment, et s'excuser de déranger une si importante conversation pour les dépasser.

Correction, tout cette sociabilité n'est qu'une constatation, je suis toujours très heureux sur la piste de Chambly-St-Hubert de croiser moulte adeptes du deux roues à pédales alimenté au jus de mollets. Et grand bien leur fasse d'être dehors et de bouger. C'est tout à leur honneur. Il n'y a pas beaucoup de plus belles sensations de fendre l'air à vélo.

Et reste que les pistes cyclables sont des endroits sécuritaires et où généralement ,la chaussée asphaltée ou en poussière de roches est en bonne condition. Pas de danger de vous faire brasser l'arrière train quand vous vous apercevez que la route devant vous deviendra en gravelle ... erreur ...

AJOUT : Me faut-il préciser la chose suivante ... les cyclistes du dimanche qui ne roulent que sur les pistes cyclables, ne vous salueront que rarement et c'est toujours très bien ainsi. Ceux qui sont soudainement moins sociaux, ce sont les cyclosportifs et les cyclotouristes, ceux qui vous salueraient sur la route. Rendu sur la piste cyclable ... plus rien.
Ceci dit, j'essaie d'inverser la tendance en souriant à presque tous ceux que je rencontre ...

mardi 14 juillet 2009

Sacrilège ?



De la Heineken dans un verre de Carlsberg !!!

Me semble qu'elle est meilleure ...

L'inverse serait sans doute vrai aussi ... mais ...

Et si on parlait météo


J'adore la météo de ce début du mois de juillet ...

Vraiment ?

Oui, vraiment !

Moi, qui, tristement, déteste la chaleur (sauf une semaine par année et l'hiver de surcroit!), je suis comblé.

Reste la pluie ... mais remarquez que là encore c'est pas si mal, j'ai l'impression d'avoir du gazon sur le terrain en avant de chez nous et tout est encore vert plutôt que brun séché ! Faut seulement que passe la tondeuse à toutes les semaines plus qu'aux deux habituellement. Je n'ai même pas besoin de passer mon temps à arroser le compost, il s'humidifie tout seul.

Seule réelle conséquence, je peux rouler moins longtemps sur mon deux roues. Ca fait tout de même deux fois que je me fais prendre par la pluie et hier c'était une mauditte bonne averse (merci gros arbre feuillu)! Remarquez que je commence même à prendre goût à rouler sous la pluie. Ca a un p'tit quelque chose d'exotique (ok ... je cherche l'exotisme la-dedans mais c'est le seul mot qui m'est venu en tête !).

Toute cette pluie ne m'a pas empêché de franchir les 500 km. C'est la beauté d'être en vacances tout l'été. Je peux sortir tous les jours ou presque et faire tomber les kilomètres. Je commence à avoir des cuisses d'acier !! Et je suis presque bronzé, c'est tout dire ! Imaginez s'il avait fait vraiment beau !

Reste que ... c'est l'été et on l'attends encore un peu ...

Mais z'avez vu le Tour de France en HD ? Y s'passe rien, mais les paysages sont beaux et ca donne envie d'aller y rouler ! :)

mardi 9 juin 2009

Je suis allé faire un tour


55 km moins une cote ...

Dans les rues de Mourial.

Maudit que c'est le fun !

mardi 2 juin 2009

Note au notaire

Si on lui donne une note de réforme au secondaire, il aurait sans doute 3 ou 3+.

Pas plus.

Je sais pas pour vous, mais pour moi un notaire est une profession de prestige qui exige un certain disons, "standing". Lorsqu'on rentre chez le notaire, me semble que ça doit respirer le luxe ou néanmoins, l'ordre et la rigueur.

Eh bien après deux visites chez Notaire pour Maison, je suis pas sur que Notaire réponde à cette notoriété.

Des exemples ? Les chèques que je devais récupérer étaient empilés sur le bureau de Secrétaire retenu par un aiment. Même pas dans une enveloppe, à l'air libre, écornés et agraphé en plein centre aux yeux de tous. Les deux notaires occupés, j'aurais pu partir avec la pile sans que personne ne s'en rende compte ou encore fouiller dans le foulli des dossiers répandus partout dans le bureau et amasser des tonnes de renseignements personnels et peut-être même sur un joueur du CH (puisque c'était presque le cas). Il y a des dossiers partout. Pas sur qu'il s'apercevraient qu'il en manque un ou deux.

En plus, Acheteur de Maison s'était pointé plus tôt la semaine dernière pour demander à Notaire de retenir les frais pour la décontamination de peur que je paie pas. Notaire n'a jamais pris le temps de m'appeler pour me demander mon avis sur la question prévérant croire Acheteur. Résultat, j'ai du appeler en catastrophe Décontamineur pour ne pas qu'il encaisse les chèques. Décontamineur a vraiment été charmant et compréhensif.
Pour payer Décontamineur j'avais aussi du faire déplacer des placements bien placés temporairement à un taux tout à fait appréciable étant donné les circonstances économiques. Déplacement finalement pas nécessaire et intérêts perdus. Pas dramatique mais quand même.

Ce n'est pas tout. Notaire n'a pas non pris la peine de remplir son engagement pour que je sois payé correctement pour le mazout, élément clé du chauffage de Maison. Clause de la promesse d'achat.

"Ah, on a pas eu les documents." qu'il répond.

Si pas eu de documents, est-ce que c'était trop me demander de me les demander ? Je les aurais offert avec plaisir. Non rien.

"On va communiquer avec Acheteur." qu'il répond maintenant.

"Bon ... J'ai hâte de voir ca !"

Et finalement ...

"Où sont mes documents de la transaction ?" que je le lui demande.

"Ben on vous les a remis !"

"Non, je n'ai rien ... souvenez vous Acheteur passait signer le lendemain seulement."

"Ah ... Ben c'est lui qui a tout maintenant."

"Et ... "

"Ben je vais vous imprimer l'acte de vente."

"Et ..."

"Euh ... je vais voir pour les autres documents."

Vraiment pas fort. À voir comment à l'air de fonctionner le bureau de Notaire, ce n'est pas une surprise que tout soit fait tout croche et qu'on cherche des documents. Qu'on en perde même.

Il n'est pas verreux mais saprement désorganisé. Et pour un notaire je trouve ça grave.

Pas recommendable.

lundi 1 juin 2009

Juin !

Yesssssssss !

Ca sonne toujours bien juin !

jeudi 28 mai 2009

Atteinte à l'intégrité physique et mentale de Maison (ou comment donner des airs de titres de chanson de Bryan Adams à son billet)

Suite au décès de mes parents, je devais, à regret, vendre Maison Familiale qui, depuis 32 ans, au moment de cette "obligation", était un refuge douillet.

Pas de tracas. Pas d'inquiétudes. Je la connais par coeur avec son histoire, ses crises (architecturales et celles de membres qui l'ont habités), ses racoins secrets et ses défauts. Maison est parfaite pour moi.

Un premier acheteur se manifeste, nous concluons une entente mais hélas celle-ci tombe à l'eau puisqu'elle est conditionnelle à la vente de sa maison (une jolie maison mais qui semble invendable ... il n'aurait toujours pas reçu d'offre à ce jour). Après quelques tentatives d'en venir à un accord pour qu'il puisse conserver ses "droits" sur la maison, l'accord est définitivement annulé.

Décision est prise de finalement prendre un agent immobilier. Résultat : deux semaines après la remise en vente de Maison, une nouvelle offre satisfaisante. En deça des attentes mais bon ... Après 8 mois d'attente, on concède plus facilement.

Arrive l'étape de l'inspection.

Specteur inspecte. (bonne idée lecture ca ... l'Inspecteur Specteur de Ghyslain Taschereau)

Acheteur scrute, écoute attentivement et bois littéralement les paroles de Specteur. Semble pendu à ses lèvres.

Petit bobo de plomberie. Pas grave on va réparer que je lui dis.

Visite finale dans l'entretoit.

Specteur redescend avec Acheteur tout blême.

"Y'a de la vermiculite !" Specteur me dit.
"De kessé de la vermiculite ? Ca mange quoi, et ça a quatre ou huit pattes ?" lui réponds-je ?
"Non, la vermiculite est un isolant qui peut être contaminé à l'amiante! Super méga full dangereux pour la santé" (note : je ne reprends pas exactement les paroles de Specteur...)
"Ouh ... et on fait quoi ?"
"On analyse et on fait enlever si c'est contaminé. Ca coute au minimum 10 000$"

Acheteur est encore blême et je prends la même couleur que lui ! Porte-feuille tremble ...

Fais faire les analyses. Résultat vous vous en doutez : Belle contamination juteuse.

Reste à trouver une personne experte pour retirer l'isolant indésirable au nom ressemblant plus à une ITS qu'à un matériau.

Décontamineur est finalement trouvé et est maintenant sur place. La vente se fait quand même. Mais Décontamineur prend des précautions monstres. C'est hallucinant l'insfrastructure mise en place pour le traitement de la patente. Le reportage de La Facture de Radio-Canada est éloquant.

Finalement les travaux seront complétés dimanche. 4 jours pour retirer et stériliser le milieu fautif.

Après ce sera fini. Adieu Maison. Triste ? Oui un peu. Mais ça fait tellement longtemps que ça dure et avec tellement de rebondissements que je suis presqu'heureux de voir enfin la fin de cette saga.

Bien qu'atteinte en sont coeur, bien qu'on lui ait dit tout plein de méchancetés, Maison restera pour moi un lieu bourré de souvenirs aussi agréables les uns que les autres : mes premiers pas, mes premiers pleurs, mes claquages de portes, les soupers de fête, le lançage de balle avec mon père derrière, le ménage, les soupers dans l'entre-deux l'été, les vitres de la porte du garage brisées par des slap-shots trop bien placés, les moustiquaires des dizaines de fois remplacés par des balles rapides échappées, les sourires, etc.

Salut Maison et rebelle-toi contre Acheteur têteux ! Fais-toi plaisir !!

mercredi 27 mai 2009

Mots d'élèves de 5e secondaire dans une bibliothèque


Il entre ...

S'arrête soudainement ...

Regarde partout ...

Vois un de ses collègues de classe ...

"Heille Sam ! Comment ca marche une bibliothèque ?"

Je m'écroule en riant !!!!

5e secondaire ... fin d'année ...

Ca va être beau dans les prochaines années.

lundi 25 mai 2009

P'tit coucou encore


Wow deuxième billet en un mois ! Que me prends-je ?

J'ai fait une promesse non ? Eh bien me revoici à temps partiel. Mais le temps passe vite alors ... Ca fuit de partout.

Deuxième promesse, je reviens dans une semaine si tout va bien.

Vous conterai des histoires de danse (eh oui durant tout ce temps j'ai encore été danseur), des histoires de vermiculite (non ce n'est pas une nouvelle ITS) , des histoires de sports (de hockey et de vélo ... une saison se termine l'autre commence), des histoires d'histoire (je lis encore et toujours), des histoires musicales (pourquoi pas vous faire part des découvertes des derniers mois ?) et des histoires de vente de maison (vraiment pas toujours évident).

Bref, y'a du jus.

Reste à presser le citron ! (Viendrais-je de traiter de citron ?)

Squik ! (bruit de citron pressé phénoménal !)

mercredi 13 mai 2009

Pour faire plaisir !

Oui oui j'existe encore. Mais bizarrement la discipline qui demande de s'asseoir devant l'ordinateur pour rédiger une fois de temps en temps me fait laborieusement défaut. Alors je délaisse, j'abandonne, je néglige la blogosphère.

Je vais revenir ... pourtant par bout il y a beaucoup à dire. Mais semble-t-il que pour l'écrire, c'est un peu plus pénible.

Que le clavier revienne et que l'Antubiotique renaisse ! :)

À tout de suite !