lundi 17 décembre 2007

Où est le canon ?

Celui qui souffle l'irrascible banc de neige qui orne prodigieusement la devanture de mon splendide abri tempo et non pas un qui projette mille fois un film sur grand ou petit écran pour le bonheur des plus grands comme des plus petits.

Je le cherche parce que, voyez vous, malgré le fait que le pelletage soit mon sport d'hiver préféré, j'en ai mon quota. Je ne sais même plus où envoyer, de ma belle pelle bleue, cet amoncellement de neige accumulé depuis 24 heures.

30 ? 40 ? Peu importe le nombre de toute façon, faut lui trouver une place.

Mais quand même, avant que la charrue ne passe hier soir, j'ai eu droit a un joli spectacle dans ma rue : une voiture prise dans le milieu de la rue, incapable de faire un mètre de plus. Jusque que là, ce pourrait être banal, mais quand on voit en sortir deux pauvres post-ados, avec des runnings dans les pieds, pas de mitaines, pas de tuques, pas de pelle, pas rien finalement, là ca devient un fabuleux spectacle d'humour d'hiver.
Avance, recule, pause. Avance, recule, pause. Avance, recule, trouve une pelle, pause. Avance, recule, fais un mètre, reste pris à nouveau, pause clope !
Il a fallu qu'ils fassent appel (après quoi, une vingtaine de minute à faire du va et vient) à l'escouade Civic et à son équipe de 4 gars (arrangés de ma même façon) qui sont sortis comme au cinéma (freinage exagéré, 4 portes qui ouvrent en même temps et 4 gars qui sortent aussi en même temps et tous habillé en noir) et qui ont réussi à pousser la pauvre sunfire 91. Inutile de vous écrire (je le fais pourtant) que dès qu'il a été sorti de son bourbier, le conducteur s'est assuré de ne pas resté pris une deuxième fois (fallait aussi voir son passager rembarquer en roulant avec la porte ouverte ... allez hop cascade !).

Belle leçon d'hiver.

Ce matin, soleil, vent et banc de neige puisque d'école, il n'y a pas ...

samedi 8 décembre 2007

Entendu à la pharmacie


La technicienne jase de tout et de rien avec une cliente et finit par sortir ce désormais classique dans mon esprit :

"Ouain on sait ben toutes les maladies ça part du corps ... mais on oublie souvent ca ..."

De la grande philosophie ! Merci madame ma journée est faite !

vendredi 7 décembre 2007

Temps d'arrêt


Parfois le temps, le cours de la vie, nous oblige à revoir nos priorités, à faire des choix pas toujours évident, à suspendre, pour quelques instants, nos activités régulières. Tout ca pour aider, pour donner un peu de soi, un peu de réconfort même si parfois, souvent, ce n'est pas évident, pour quelqu'un qui en a grandement besoin.

Même si parfois on voudrait être ailleurs, même si parfois on s'enrage parce qu'on ne pense pas comme on le souhaiterait, même si parfois le ton de certaines paroles dépasse l'entendement, même si notre patience atteint ses limites (et les miennes sont loin, très loin) on y revient toujours à la mission première celle d'être là, corps et âme et avec tout son amour.

Sûrement pas aussi souvent qu'il le faudrait, sûrement jamais aussi longtemps non plus, mais toujours là au complet. Le reste du temps, on y pense comme si on était sur place, matin, midi, soir, nuit, en riant, en dormant, en travaillant. Tout le temps. Même si ca ne paraît pas, même si on ne décroche pas le téléphone à tous les soirs pour savoir comment ca va.

Et on s'en sort. Il vient un déclic dans l'esprit qui tout d'un coup après des semaines à broyer du noir qui nous permet de garder la tête hors de l'eau, de survivre à tout ca et réussir à trouver un peu de place pour soi tout en continuant de penser à l'autre et de lui donner toute la place. On fait par amour en se disant que les gens ne passent qu'une fois.

C'est pour ça que l'Antubiotique blogue est sur le neutre depuis deux mois au moins. C'est pour ca qu'il le sera encore pour les semaines, les mois à suivre. Je n'ai pas contrôle la-dessus et personne n'en a non plus, je pense. Je reviendrai faire mon tour, vous parler de plein de petits trucs anodins, de victoires, de défaites, de joies, de peines et de niaiseries d'élèves ...

D'ici là, la vie continue et avec le sourire malgré tout !

mardi 23 octobre 2007

Savoir se bouger les pieds

TVA passait ce soir, la deuxième partie du premier gala de So you think you can dance et comme c'est diffusé avec quelques mois de retard - mauvaise mais là vraiment mauvaise traduction oblige ... on devrait mettre des sous-titres ce serait moins souffrant!- j'ai pu revoir mon hit de la saison soit Sarah et Jesus dans un numéro complètement délirant ...
Je veux danser ca un jour ...
Quoique ma carrière soit déjà du passée ...

lundi 15 octobre 2007

Vert pâle, vert foncé ou Gino ?

Bloggers Unite - Blog Action Day

Dernièrement en regardant Tout le monde en parle, j'ai fait la connaissance visuelle et auditive de François Cardinal. Je le connaissais déjà comme journaliste à La Presse. En quelques minutes, il a mis en doute, ma couleur verte écologique. Surtout lorsqu'il a parlé des Ginos !! Pas ceux avec le "pouelle", non, les Green In Name Only ! Serais-je un Gino sans le savoir. Je fais, je pense, plus que la moyenne pour mon environnement. Mais il y encore des choses que je ne fais pas.

À la maison, lorsque c'est possible, les ampoules sont des fluos compactes. Le recyclage ? Mon douceureux bac vert déborde ou presque à chaque semaine. Les appareils électriques et électroniques sont presque tous Energy Star. Mes thermostats sont tous électroniques et programmables et si une pièce n'a pas vraiment besoin de chauffage (les deux salles de bain) cette dernière est carrément fermé. Ma tondeuse est électrique, ma souffleuse fonctionne à mon jus de bras. Je ne mets rien de nocif sur mon terrain(j'endure mes nombreuses mauvaises herbes). En voiture, je ne roule que très rarement au-dessus des l00 km/h, en plus, je suis fréquemment sur le régulateur de vitesse. Je coupe le moteur de ma voiture dès que j'attends pour rien. Je ne la fais pas chauffer inutilement l'hiver et utilise le chauffe-bloc dès que les nuits sont sous les moins 15 degrés. Quoi d'autres encore ? Je ne sais plus ...

Malgré tout ca, je m'interroge sur mon vert et si je ne serais pas un gino !

Mon recyclage n'est pas parfait (j'ai encore quelques croutes à manger, des plastiques à enlever, des cartons à éliminer), je ne fais pas mon composte, ma voiture consomme beaucoup trop, je suis dans une école pour qui l'environnement est encore un mystère (bien que ...) et que je ne fais rien pour y changer les choses, je n'ai pas de fermier bio, je ne fais de cocktail-transport, je prends encore la voiture pour aller à trois portes de la maison ... Et encore et encore ...

Bref, comme il y encore place à l'amélioration ...

Je doute de mon vert, de mon Gino ...

lundi 10 septembre 2007

Disqu'illusions

Amateur et consommateur de musique, je pourrais facilement faire vaciller mon budget du coté rouge de la force par quelques achats chez mon disquaire préféré.

Mais voilà que depuis samedi dernier (officiellement mettons), je suis désillusionné. En fait, pas par tout le marché du disque surtout celui québécois. HMV a annoncé récemment la baisse du prix de plusieus de leurs dcs. Ca se reflète déjà dans les bacs. Vérification faite vendredi passé. Cherchez de nombreux vieux albums et vous verrez que les prix ont chuté. Par exemple, New Jersey de Bon Jovi (une vieille affaire de "pouelles" de 1988) était maintenant vendu 12,99$ au lieu des 17,98$ demandés il n'y a pas si longtemps. Peu de changement du coté québécois cependant. Les promotions pour les disques anglos avec quelques albums (bien bien peu) francos sont alléchantes.

C'est en me promenant chez Archambault que mes illusions ont tourné. Oui, il y a des promos pour de vieux albums (anglos et francos) ou des collections spéciales à bas prix. Mais scrutez attentivement les bacs et vous aurez quelques surprises. Le même Bon Jovi était vendu 27,98$ !! Mais là, vraiment où j'aurais cru voir un jour une baisse de prix c'est sur les dcs francophones. J'avoue être sincèrement tombé en bas de ma chaise quand j'ai vu le prix du dc des Invincibles : 24,99$ Ayoye !! À ce prix là, je préfère m'en passer.

Je me suis alors attardé sur le prix des dcs de musique franco. J'ai rapidement compris pourquoi j'en achetais moins. Rares était les dcs qui affichaient un prix sous les 16,99$. Les quelques nouveautés toutes récentes (et encore) sinon rien. 17, 18, 19,99$. Alors pour des produits américains, irlandais, canadiens anglais, britanniques on m'attirait avec des dcs à 9 ou 10,99$. Des nouveautés. De nouveaux artistes. Des groupes, chanteurs, chanteuses qui veulent se faire connaitre. Et ca fait en sorte que cette semaine une jeune artiste de la Colombie Britannique, Hayley Sales, se retrouve 20e meilleur vendeur. Sans la visibilité de son prix, personne ne l'aurait acheté les médias québécois ne l'ayant pas publicisé.

Chez HMV, on a eu l'idée des disques de la semaine que l'on peut se procurer pour 7,99$. Si les compagnies de disques québécoises (et les disquaires) proposaient fréquement leurs nouveaux artistes à ces prix-là, on se "garocherait" sur le dc du p'tit nouveau. On prendrait des risques auditifs. Est-ce qu'on aimerait à tout coup ? Non sans, mais nous aurions un incitatif de plus ! Ceci dit, les compagnies le font ... mais rarement et à des prix pas tout à fait concurentiel.

Je me souviens d'avoir vu Dumas, Charles Dubé et plus récemment Pascale Picard à des prix dérisoires (10 ou 11,99$).

Et vous savez quoi ?

Ils tournent encore dans le lecteur dc de la maison ... pas besoin de les télécharger ... ou de les ignorer.

À la minute, j'en suis convaincu, où je verrai que les prix sont alléchants, vous pouvez être sur que je vais faire augmenter les ventes et me garnir les oreilles de nouvelles découvertes que je partagerai ensuite à d'autres qui sauteront sur l'occasion eux aussi.

En attendant, dommage.

jeudi 30 août 2007

13

Coïncidence que pour le premier groupe (le 13) à qui j'enseignerai tombe sur un vendredi 31 (l'inverse) ?? Et à la troisième période du jour 3 ... et dans le local 229 ... 2 + 2 + 9 = 13 ...

Premier cours.

Première nuit d'insomnie (pour d'autres raisons aussi).

Pas grave, les insomniaques s'amusent ...

jeudi 16 août 2007

C'est le temps des vacances


Encore qu'il aurait fallu que je les accorde au passé puisque depuis aujourd'hui, je n'ai plus le droit d'y penser. C'est la fin de la récréation, le temps de reprendre le chemin des salles de cours.

Mais oui, je sais, cela fait un long mois que je n'ai rien écrit. Qu'entends-je ? Mais où est donc carnior ? Qui donc a volé la lune par ce si beau soir d'été ? Comment puis-je faire pour être milionnaire ? Où étais-tu bloggeur démasqué durant cette période ?

Je ne répondrai qu'à une seule question à la fois en commencant et en terminant par la dernière. Les autres ... je verrai.

Un mois donc, à pédaler quelques rangs de mon entourage, à explorer le fabuleux camping du Parc de la rivière Batiscan, à décrocher dans un petit condo du Mont Tremblant, à harmoniser l'extérieur de la maison, à fabuler devant l'inimaginable et extraordinaire exposition Le monde du corps 2 au Vieux-Port de Montréal (si ce n'était pas si cher j'y retournerais tous les jours tellement c'était fascinant), à comprendre, observer et bonifier de mon aide la pose d'une toiture chez un très bon ami (grandement soulagé qu'elle soit en place) et à lire (une douzaine pour emporter et dont le coup de coeur est le Grand Cahier d'Agota Kristof) et ah oui j'oubliais ... à se pâmer devant So you think you can dance.

La table est mise pour le début d'une nouvelle année avec un nouveau grand défi soit celui d'enseigner puisque l'on a confié à ma collègue et à moi-même le cours de méthodologie de 1re secondaire en attendant le retour du prof habituel présentement en congé de maladie. Ca faisait longtemps que nous le reluquions et voilà c'est fait ! Temporaire mais on ne leur (la direction) laissera pas la chance de nous l'enlever !! :)

Go les jambes qu'ils disent !

mardi 17 juillet 2007

Le vaudeville se poursuit !

Cette fois ce sont les commentaires sur le blogue de Marie-Claude Lortie (toujours sur CyberPresse) qui sont désopolants et parfois désolants et réagissant à sa question blogueste : Les québécois sont-ils gratteux ?

Je ne sais pas si nous le sommes (j'essais de ne pas l'être) mais une chose dont je suis désormais sûr ... c'est qu'il y en a une mauzusse de gang qui ont la mêche courte !

vendredi 13 juillet 2007

Ciel mon Brière !

Les échanges des dernières semaines entre François Gagnon (son blogue sur Cyberpresse) et ses lecteurs-commentateurs sur la signature, à Philadelphie, de Daniel Brière et non pas à Montréal, nous donnent droit à de savoureux moments dignes de 110% mais en version écrite et pas seulement avec des "spécialistes".

Des heures de lectures toutes aussi drôles les unes que les autres. Du vrai vaudeville. À croire que l'on a caché le responsable de tout et qu'il va finir par sortir du placard !

Incroyable !

Et un peu pitoyable aussi ...

Imaginez le texte que François Gagnon a écrit "Vous ne méritez pas Daniel Brière" a généré plus de 1000 commentaires ... Ayoye !

En terminant, je n'écrirai que ceci comme commentaire sur le sujet : Brière a choisi Philadelphie plutôt que notre équipe. Tant mieux pour lui et pour les Flyers et tant pis pour nous. C'est lui qui décide. S'eut été l'fun ... mais coudon'

Les Simpsons et vous


Vous avez toujours rêvé d'être des Simpsons ?

Si oui, voici qu'avec la sortie du flim (oui c'est bien écrit le flim pas film...), vous pouvez vous créer dans ce monde burlesque et faire enfin partie de la population du Springfield.

J'ai l'air de ça ...

Soit écrit en passant, j'ai pris l'idée ici parce que je n'avais encore eu la bonne idée d'aller me perdre sur le site du flim.

La chance de vendredi 13


Appelez ça de la chance, oui, mais j'écrirais aussi que j'étais dû !

Ce matin, ma douce vient me réveiller en partant travailler (parce que nous ne pouvons pas tous être en vacances tout l'été ... ) et me dit de rester coucher parce qu'il pleut ...

Snif de maudinne ...

Je me lève quand même et en scrutant attentivement l'horizon, je vois du bleu et me dit que j'ai peut-être une petite chance. Café et déjeuner, il est 9h35 quand j'enfourche mon vélo sous les rayons frisquets du vendredi 13 de Galarneau. La menace d'orage est bien réelle quand je tourne sur le boul. Rome dans la majestueuse ville de Brossard. Les nuages gris foncés au dessus de Montréal n'annoncent rien de bon. J'augmente un peu la cadence. De retour à Longueuil, puis à St-Hubert, je constate que je ne pédale pas encore assez vite. Le bleu fait place au gris au dessus de ma tête.

Mais heureument, 46 km et 2h20 plus tard, à mon arrivée à la maison pas encore une seule goutte n'est tombée. La première et ses suivantes surgissent tout juste au moment où je range mon vélo dans le cabanon.

En plus, l'étape du tour de France d'aujourd'hui n'était encore terminé. J'ai pu poursuivre ma chevauché à la télé en prenant plaisir de voir (enfin!) Tom Boonen gagner son étape !

La chance entre deux eaux que j'vous dis !

lundi 9 juillet 2007

Temps de gars


Mont Tremblant. Premier vrai week-end de juillet.

La météo s'annonce incertaine. Idéal pour quelques jours entre gars.

Deux tentes (sur un site originalement conçu pour une seule). Un abri-cuisine. Un feu. Quelques boites.

Parfait. On peut relaxer au son du ruisseau juste à coté.

Grandes inspirations.

Décrochage grandiose. Les vacances sont commencées.

mardi 3 juillet 2007

Quelques mots ...


Mon premier livre de l'été est déjà derrière.

Amour toujours de Béatrice Masini et Roberto Piumini.

Correspondance amoureuse entre deux ados.

Futé, bien écrit, candide.

vendredi 29 juin 2007

200, 10h50, j'ai les mollets qui suent

L'entrée dans les vacances estivales a toujours comme porte d'entrée pour moi la dernière sortie du Club Plein Air. L'an passée, nous avions emmené nos mousses sur le haut sommet du Mont Washington, cette année nous les avons gardés au Québec et nous avons fait travailler leurs jeunes pattes différemment : le p'tit train du nord à vélo.

200 km en trois jours sur leur monture à chaîne entre Mont-Laurier et Saint-Jérôme.

70, 72 et 58 km.

10h50 à mouliner encore et encore.

Des pointes de vitesse à 44km dans la dernière journée mais une montée à 9 ou 10 km dans une interminable montée la veille.

Du camping, des fous rires incontrolables, une fierté pour tous d'avoir accompli la mission que certains (moi le premier parfois) ne pensaient pas réalisable et une autre gang incroyable, unie, survoltée, casquée et terriblement attachante. Pour deux d'entre eux c'était leur dernière activité en tant qu'élève, leur secondaire s'achevait avec nous. J'entends encore l'une d'elle qui, en arrivant, a dit, avec une petit pincement : "C'est la dernière fois que je vois mon école en tant qu'élève, ça fait drôle ..."

Ça fait drôle aussi à ceux qui les regardent partir. Mais je suis sans crainte pour les deux. Le meilleur est devant ...

dimanche 24 juin 2007

Paroles d'un filleul 2

- Qu'est ce que tu veux faire plus tard ??

- Cowboy !

- Pourquoi ?

- Pour être un musicien fringant !!!

Mosaïque d'été 3e partie

Troisième et dernière partie ... À ceux-là, il faudra rajouter tout ceux que j'achète et les autres que j'emprunte régulièrement à la Grande Bibliothèque ...

J'ai la tête qui tourne ...

Mosaïque d'été 2e partie

Il n'en restera qu'une après cela ...

Par où je commence ??


samedi 23 juin 2007

Mosaïque d'été

L'avantage de travailler dans une bibliothèque scolaire, c'est que l'été venu tous les livres sont de retour et que j'ai un peu moins de deux mois pour en dévorer le plus possible.
À la fin de chaque mois de juin, je repars avec ma grosse boite sous le bras ... en fait, non pas sous mais sur les bras ...

J'en apporte toujours trop,
Beaucoup trop ...

Mais au moins j'ai du choix ... des livres jeunesses aux classiques polars d'été ... de tout.

Je vous présente un premier volet de cette trilogie "livrété" :





dimanche 17 juin 2007

Le prix d'un gazon


Je vous parle de Voisin, le charmant Voisin (en fait dans les circonstances pas si charmant que ça) Il fait désormais partis des (bon, bon restons polis) tatas qui dépensent l'eau nonchalemment mais en pleine "mouillance" de cause quand il y a des interdictions et que ces interdictions sont pour leur bien parce qu'au moment où ils ouvriront le robinet de leur cuisine et qu'il ne coulera plus que de l'air, ils se diront que c'est la faute du voisin ... lui, il n'a fait qu'arroser son pauvre petit tracteur à gazon vert vert vert !

Revenons-y à Voisin ...

Deux fois cette semaine, il fait fonctionner son arrosoir toute la journée. Et quand j'écris toute la journée, c'est toute la journée. De 6h30 à 17h. Pour arroser quoi ? Roulement de boyau ... Son sapin vert !!!! Il a caché son arrosoir sous son sapin. 10h30 d'arrosage X 2 pour son ti-sapin vert !

Est-il plus beau qu'avant ? Non, je ne pense pas.
Serait-il mort s'il ne l'avait pas arrosé ? Pense pas non plus.
Quelle température faisait-il ces jours-là ? 29 degrés, soleil de plomb.
Résultat: l'eau s'évapore rapidement et ne sert finalement pas à grand chose pour son terrain.

À cela, il faut ajouter qu'il a arrosé une bonne partie de la nuit son gazon d'en arrière. Mais la nuit vous savez, dépenser l'eau c'est pas si grave ...

Je lui enverrai sans doute ceci ... la prochaine fois ...

Quand on a la jugeotte d'un boyau percé ... on veut un gazon vert à tout prix !

jeudi 7 juin 2007

Suite ...


Le bon sens est de retour !

À la poubelle le rapport surprenant !

Ça illustre quand même un petit problème au gouvernement. Un rapport demandé sans la ministre ne soit au courant ... Hum ... Il n'y pas seulement qu'en santé qu'on devrait faire enquête sur le financement ...

mercredi 6 juin 2007

Quel diable les a piqués ?

Ce matin, La Presse rapporte un article du Devoir qui révèle une étude voulant que qu'il serait sans doute approprié de ne plus compter les fautes de français dans les textes au cégep.

Eh bien ma foi du bon dieu qui parle ! Qu'est-ce donc que cette nouvelle surprenante voire même troublante et terrifiante.

«Ce ne sont pas les faiblesses de l'élève qui devraient intéresser l'évaluateur, mais plutôt ses forces: on devrait valoriser ce qui est réussi et non mesurer ce qui est raté.»

On suggère plutôt au correcteur de se faire une idée globale de ce qui a été écrit et de juger ensuite de la qualité du français écrit. Autrement dit, tu peux écrire avec trois cent fautes dans ton document de 5 pages mais si tu as aligné les mots de la bonne façon, tu obtiens la note de passage. Autrement dit, sachez quoi écrire plutôt que sachez quoi écrire et comment l'écrire. C'est pas si grave si vous n'apprenez pas tout de suite !

Cette nouvelle me trouble d'autant que c'est par cette façon de faire que je suis parvenu à ne faire presque plus de fautes en écrivant. Je suis bien loin d'être parfait (le présent commentaire en témoigne sûrement) mais j'ai l'impression d'être parti de tellement loin pour arriver à comment j'écris aujourd'hui que j'en suis fier.

Comment tout ça se peut-il ? En me renoté mes fautes, en me les montrant, en les comptant toutes, souvent, longtemps, énormément. J'ai enfin compris le sens de tout cela. Au secondaire, j'étais un cancre dans les dictées. Des -30 sur 10, j'en ai eu à la pelletée ! Depuis quelques années, à chacun, ou presque de mes courriels, mon père, ma mère m'ont et me reprennent encore ! C'est aussi en écrivant plus souvent. Par obligation, mais aussi par plaisir ! Et ca marche !

Quand je vois mes mousses du secondaire (de première à cinquième) qui ont parfois et même souvent de la misère à écrire deux mots de suite sans faire de faute, je m'interroge énormément sur la validité d'une telle mesure ! Comment feront-ils pour s'améliorer si on ne trouve pas une façon de leur souligner leurs fautes ? D'avoir un baromètre pour juger de leur amélioration ?

mardi 5 juin 2007

"Je m'esscuze"


François Pérusse disait ceci :
"C'est quoi la différence entre un tournevis carré et Kovalev ?? Y'en a pas, les deux sont pas étoiles !!"

Alors comme ça mon Koko, tu t'excuses d'avoir été méprisant envers tes patrons et tes partisans chéris qui payent le gros prix pour voir ou pas tes jeux de finesse.

Viendrais-tu enfin de comprendre comment ça fonctionne les médias ? En Russie, tu tiens un discours baveux, hautain et tiens, de retour à Montréal ... un autre diamétralement opposé ... L'information voyage vois-tu ?

Viendrais-tu aussi de comprendre que, si tu veux jouer longtemps, souvent et avec les bons joueurs (ceux qui vont bien te faire paraître) tu dois revenir dans les bonnes grâces de ton dg et de ton entraineur que tu sois d'accord ou pas avec eux ?

Viendrais-tu de te rendre compte, que, pour le moment, aucune autre équipe n'est prête à assumer tes humeurs et surtout ton salaire ? Viendrais-tu de te rendre compte que tu es pris avec le CH et que, conséquemment, tu es bien mieux de rentrer à la bergerie plutôt que de jouer le mouton noir égaré ?

Tu as demandé à Bob et Guy : "C'est quoi mon rôle avec l'équipe ?"

Koko, mon cher Koko, tu te le demandes vraiment ? Aurais-tu perdu toute ta jolie confiance au point de ne plus savoir qui tu es ? Quel type de joueur tu es ?

Si Bob et Guy ne te l'on pas simplement expliqué voici : Koko, tu es un joueur flamboyant avec les mains parmi les plus agiles que le hockey ait connu, tu es un joueur payé pour marquer des buts à la tonne et accumuler les passes et les points. Tu devrais être le meilleur joueur de ton équipe à chaque partie. Tu devrais toujours être celui qui montre l'exemple, qui tire l'équipe dans le bon sens et ce même si ca va mal ! Tout ça même si les joueurs qui t'entourent ne t'arrivent pas à la cheville. C'est toi qui devrait les faire rayonner !!

Bref, tu devrais être celui que l'on voit quelques soirs ou des parties de soirées durant la saison. Pas celui qui boude, qui ne fournit plus d'effort, qui ne cherche pas à tout prix à gagner et qui finalement ne vient jouer que pour payer son nouvel avion. Ce n'est pas celui-là que l'on veut voir et acclamer. C'est l'autre, celui avec le grand K !

Juste grâce à ca, tu pourrais être plus heureux à Montréal et nous itou !

Bon été Koko, et va réfléchir encore un peu ca semble te faire du bien !

samedi 2 juin 2007

Fin de saison

Rangeons les armes de destruction massive, les armures de plastique, les lames affutées et les grillages de fer, ma saison de hockey est terminée depuis jeudi passé.

Dernière fois que l'on croisait le fer, aluminium, carbone et bois afin de pousser, de frapper un p'tit bout de cahoutchouc dure comme de la roche au fond d'une structure métallique appelée but. Dernière fois de la saison surtout, où l'on faisait sortir le méchant et où il n'y a pas vraiment de gagnants ni de perdants. Juste du fun.

Du gros fun de gars.

Brut.

On trouve tous notre compte dans tout ca. On s'améliore, on se rit de nous et des autres, on s'engueule, on rechigne, on boude, on se déboîte une épaule (deux fois plutôt qu'une pour certains), on fait de notre mieux pour sortir la rondelle de sa zone, on se tapoche. Et moi je m'amuse avec mes statistiques personnelles. Petite satisfaction du défenseur qui fait de son mieux avec les moyens qu'il a.

20pj, 4b, 14p, 18p, -4.

Pas si mal.

L'été peut vraiment commencer.

À vos roues de vélos !

jeudi 24 mai 2007

Sans papier

C'est étrange quand même. Il y a plein de sujets pour lesquels j'avais envie d'écrire mais à chaque fois, par les temps qui courent, je ne me trouve pas devant un pôtit écran d'ordinateur ni n'ai de papier pour y transcrire la ou les phrases intelligentes qui viennent de me traverser le ciboulo.

Je voulais récemment vous entretenir des 72km de vélo que j'ai roulé avec mes mousses du Club Plein Air de samedi dernier et que certains ont trouvé longs, longs, longs, longs (même que l'on a appris de la voix d'une maman qu'il y en avait un qui s'était couché dès 18h30 ... quand même).

Je voulais vous écrire sur la grève des tiens-il-me-semble-que-ca-fait-longtemps-qu'on-a-pas-fait-de-grève-ca-nous-
tentes-tu-ben-oui-ca-nous-tente-y-fait-beau employés d'entretiens de la STM mais je n'ai pas trouvé de lien vers l'article d'Yves Boisvert de La Presse qui nous allumait sur une solution à saveur stockholmoise (et autre) et qui devrait semer le doute dans la tête des grèvistes cette idée étant : le syndicat: N'a pu. La STM sous-traite dorénavent. On économisera et on pourra vraisemblement offrir un meilleur service.

Dans le même suite d'idées, j'aurais pu vous écrire sur le plan de transport proposé par le maire Tremblay et qui m'a joliement fait sourire parce qu'enfin Montréal rattrapera d'autres grandes villes avec un transport en commun efficace et surtout divertifié. Après avoir vu comment ça se passe ailleurs dans quelques autres villes du monde, il est temps que Montréal se mette à se grouiller le ...

Il aurait été aussi a propos de vous parler des médecins qui répondent n'importe comment à leurs patients du genre : "Que voulez-vous que je fasse pour vous madame!" l'air exaspéré. Euh allo, c'est vous le docteur, c'est vous qui devriez me le dire !! Ce n'est pas tout d'avoir des compétences médicales, il est de bon usage dans ce métier (comme dans d'autres aussi) d'avoir des compétences humaines mais ça malheureusement ca ne s'apprend pas dans les livres ! Merci maman pour l'histoire dont tu te serais bien passée !

J'aurai pu vous parler, sur un ton plus léger, des 5 maudits poteaux que j'ai frappé au cours de mes 4 derniers matchs de hockey.

Des Sénateurs qui sont en finale mais pour qui je serai incapable de prendre (vive les Ducks, coin-coin).

Du p'tit mauzus de chien-chien du voisin d'en arrière qui jappe sans arrêt dès qu'il voit son ombre.

De Gertrudette ... nah pas de Gertrudette, je laisse ça aux autres ...

De mon élève poète de l'année. Chapeau ! (je lui laisse cependant le choix entre le tour du ou le melon (miel ou jaune))

De la fin de Dr Grey, du début de Lost, de Wallander.

De mon garage qui fait n'importe quoi comme remettre des pneus finis sur la voiture de ma douce quand deux semaines plus tôt, il ne voulait pas les en faire la pose parce que justement ils étaient finis et que je ne venais pas pour refaire mettre ces derniers mais pour en poser de tout neufs !!

Mais bon ... je ne savais pas par où commencer.

Une autre fois peut-être.

jeudi 17 mai 2007

Fine bouche

Cela ne fait pas trop longtemps.

Quelques années tout au plus (et quelques étant 2 ou 3).

Mais indubitablement, ils ont pris le contrôle de l'appareil à se sauver du silence dans ma voiture à mon retour du boulot. Tranquillement, ils se sont intallés là. Pourquoi, parce que les autres aux autres postes étaient rendus franchement médiocres et qu'il fallait assurément que je trouve mieux. J'ai donc changé de poste et sincèrement ce n'était pas de gaïté de coeur. Se qu'ils me désespéraient ! Vous pouvez pas savoir !

Je parle bien sur des Grandes Gueules qui tireront leur révérence radiophonique (Seulement. J'ai des informations prévilégiées qui m'ont signalé qu'ils seraient à la télé cet automne ou à tout le moins en tournage) après 15 ans de service.

Au départ, je ne les trouvais pas drôles. Ils réussissaient tant bien que mal à m'arracher un bout de sourire de temps à autre, comme celui que je fais à ma dentiste quand elle me dit qu'elle devra m'enlever mes dents de sagesse. Mais petit à petit, ils ont commencé à se faire aimer. Certains de leurs personnages me plaisant plus que d'autres (Jean Charest, Pierre-Éric Frigault, Jacques Demers, José Théodore, Ti-Rouge) ce qui les aidaient à gravir les échelons de mon sourire.
Quelques années plus tard, non je ne le trouve pas toujours drôles bien loin de là. Je ne pouffe pas de rire à chacun de leurs gags, ni ne me tape sur les cuisses mais ils ont le génie de se rendre attachant en étant authentique et en croyant fondamentalement en ce qu'ils font. C'est probablement leur plus grande force. Ils aiment ce qu'ils font et cette passion se transmet à leurs nombreux auditeurs qui se mettent à les suivre pour ne plus les laisser.
Messieurs des Grandes Gueules, demain, je ferai sans doute exception en prolongant mon écoute de votre émission jusque dans la maison pour vous écouter jusqu'à la fin, en reniflant surement un peu. Mes retours à la maison ne seront sans doute plus les mêmes !

"Euh, à vous Pierre et Yvon su'la passerelle et Bonn'Chan'"


mercredi 16 mai 2007

Sortir de soi

Tout l'hiver, les tablettes des disquaires ne m'ont a peu près rien offert de nouveau et ni de très gratifiant pour mes oreilles.

L'ennui auditif.

Le printemps revenu depuis quelques semaines, comme les bourgeons, ça recommence à éclore. Il y a quelques semaines, le nouveau Bélanger, Daran. Ces jours-ci, Björk, Rufus Wainwright, Urbain des Bois et le premier opus de Dolores O'Riordan (The Cranberries). C'est sans compter sur les découvertes de mon directeur : Shearwater et Elsiane. Mais, bien que complètement différent des autres ci-pas-si-loin mentionnés, celui qui a touché mon oreille c'est le nouveau Charles Dubé, Sortir de soi.

Deuxième album de l'ex-pédopsychiatre, il nous propose encore sa pop ensoleillée parfaite pour rouler de longues heures en voiture dans la même lignée que son premier album, Réverbère, paru il y a deux ans. Son écriture est toujours aussi lucide, allumé et optimiste tout en étant d'un grand réalisme. C'est simple, accrocheur sans être simpliste.

Deux en deux.

lundi 14 mai 2007

Mots d'élèves dans une bibliothèque 6

À un collègue dont c'est l'anniversaire aujourd'hui ...

"Monsieur, vous avez 50 ans, est-ce que vous êtes dans l'âge d'or ?"

jeudi 10 mai 2007

Y'en aura pas de facile !!



Et dire que je la trouvais facile ...
Mais ça ben l'air que le monsieur est pas tout seul dans sa gang ! Je ne vous nommerai pas de noms ...
m'enfin pas tout de suite ...

vendredi 4 mai 2007

Une autre façon de voyager

Un collègue m'a fait part de cette façon plutôt originale qu'a Google Maps de nous faire prendre la route de Paris à partir de Montréal ...
Remarquez la vingtième étape ...

Faut avoir de bons bras et peu de bagages pour emprunter cette route ...

mercredi 2 mai 2007

Faire du méninge

Parfois, vient un moment où un rien vous allume. C'est ce qui m'est arrivé hier alors que je fus frappé d'une inspiration soudaine (grâce à la blanche souris du vilain Mac d'un collègue) et que je me garrocha sur le Petit Robert et me mis à pondre une histoire mouvementée avec tous les mots qui commencent par les lettres SOUR.

J'avais vraiment rien à faire ...


Ma souris blanche soumise au souricier sourcilleux se mit en sourdine en souriant sournoisement. Mais c'est bien malgré elle qu'elle devint sourde après avoir lu les sourates sans sourciller du sourcil. Pis encore il fallut que son souriceau sourd-muet puisse soudre près de la source ! Elle dut faire gaffe également au sourdingue sourceur sournois que celui-ci ne la pris en souricière en souriant de ses deux dents d'en avant avant qu'elles ne tombent sourdement.

Sournoiserie ? Non. Exercice de complication !

lundi 30 avril 2007

Cet homme vous veut du bien

C'est en fait le gardien du feu lors de Valborg.

De quessé ??

Connaissez-pas ?

Moi non plus avant d'avoir lu ici ce qu'était Valborg.

C'est en fait (pour les paresseux), la fête suédoise (et d'ailleurs en Europe) qui célèbre la dernière soirée du terrible mois d'avril (qui avait raison cette année de nous obliger à ne pas nous découvrir d'un fil). On profite de cette fête pour se dire que l'été n'est pas loin, au rythme de feux de joie (avec son charmant gardien qui repousse les mioches hypnotisés par les flammes) , des chants de chorales, des sucreries et des "toé, j't'aime man" (résultat d'abus éthyliques suédois).

Merci d'avoir partagé ce merveilleux personnage tout droit sorti des contes, avec nous.

Une pièce d'anthologie !

dimanche 29 avril 2007

Les rouges s'éteignent, on roule !

Les 26 premières stations du réseau

Il y avait si longtemps (depuis 1974 sur les premiers plans officiels) que l'on en parlait mais depuis cette fin de semaine, le métro roule enfin jusqu'à Laval et en tant que fans de métros depuis ma tendre enfance, je ne pouvais pas manquer l'une de ces journées historiques.
Ce midi, ma douce et moi avons donc laissé la voiture au terminus de Longueuil pour traverser l'ile d'une rive à l'autre et découvrir enfin les trois nouvelles stations.
La plus surprenante, est la première, Cartier. Son revêtement orange (bien qu'il fasse un peu penser à la station L'Assomption) frappe et ajoute une douce lumière. Les plafonds hauts aident grandement à la luminosité. On peut respirer enfin en sortant d'une rame (on est loin de Mont-Royal par exemple, station que j'ai toujours adoré cependant).
On arrive à la deuxième, De la Concorde. De la tuile bleue nous accueille. Un peu décevant. On a l'impression de se retrouver dans une veille station à qui on aurait fait le très grand ménage du printemps. Mais une fois rendu aux escaliers pour sortir, c'est une sentiment totalement différent qui nous habite. C'est grand, dégagé, haut ! Encore là on respire malgré la foule abondante. L'édicule est le plus spectaculaire des trois avec son grand espace jardin avec la possibilité de faire une petite promenade sur le court sentier.
Arrivée finale au terminus Montmorency. Station un peu banale mais encore là, on a réussi à donner une impression de grandeur et d'espace. Ce qui la rend moins banale néanmoins, ce sont les trois oeuvres gigantesques qui ornent le plafond au-dessus des escaliers roulants : les Fluides, une oeuvre signée Hélène Rochette. Spectaculaire !
Trois stations réussies sans être extraordinaires avec en prime des rames de métro, les bonnes vieilles MR-73 revampées, pour faire place à plus de gens et offrir une meilleure circulation. Voilà enfin une idée brillante que d'avoir enlever un des sièges doubles ! En attendant les prochains modèles cela devrait aider.
En attendant les prochains voyages pour aller en découvrir d'autres. Je vous laisse quelques bonnes adresses pour vous rincer l'oeil.

Le métro de Montréal (un site ultra complet sur le métro)
Des portraits dans le métro
Les cent ans du métro de Paris
Quelques photos du métro de Lyon
Le métro de Rennes (le seul que j'ai manqué en voyage, snif de snif)
L'histoire de transport de Lyon
Le métro de Copenhague
Le Tunnelbana de Stockholm
Urbanrail (vous cherchez un métro ... vous n'avez qu'à choisir !)
Celui de Toronto
De New York
De Londres