samedi 31 juillet 2010

Tout court

Alors la première journée à Amsterdam ?

Juste assez pour se faire un toute petite idée. Juste assez pour aller chercher la IAmsterdamCard pour en profiter demain. Juste assez pour comprendre qu'on arrive dans une grande ville avec ses nouvelles vibrations, ses nouvelles couleurs et ses nouvelles odeurs.

Juste le temps de faire le plein ce soir et d'attaquer les musées demain.

vendredi 30 juillet 2010

Le pire

Pas de doute le pire que j'ai vu c'est La Haye ou Den Haag ou de son vrai nom 's Gravenhage. Appelez-la comme vous voulez mais n'y passez pas à moins que vous ne teniez absolument à voir la jeune fille à la perle de Vermeer en vrai, sinon passez go et réclamez votre 200$. Et je ne dis pas ca parce qu'on s'est légèrement écarté de la carte mais simplement qu'une fois rendus au centre ... ben c'était tout. À moins d'avoir vraiment manqué l'essentiel ... si essentiel il y a. Ceci étant dit, La Haye n'était qu'une étape dans la journée d'hier et une étape imprévue en plus puisqu'il restait un peu de temps.

La journée avait commencé avec le marché aux fromages de Gouda. Formidable petite ville que celle-là et qui se peuple le jeudi comme à Alkmaar le vendredi (j'y reviens), pour cette foire et cette démonstration de vente de fromage. On négocie à coups de claques dans les mains (genre main chaude) avec quelques feintes pour faire croire à l'autre que le deal est fait et une fois la négociation finie, on se serre bien fort. Rigolo, instructif et dépaysant. Une meule de fromage gouda pèse entre 10 et 12 kilos. Le marché est garni de divers commerçants : sabots, tissus, vêtements, pains et pâtisseries, fromages bien sur. Et la ville en soit en fort agréable pour s'y promener.

La journée s'est prolongée vers Kinderdijk. Ce que se village a de particuler ? C'est qu'il cache une vingtaine de moulins qui apparaissent au palmarès de l'UNESCO. 20 moulins qui datent pour la plupart de plus de 300 ans et qui fonctionnent toujours. L'ensemble est majestueux et vaut la petite marche qui vous fait promener de l'un à l'autre. Bien sur, on peut en visiter un. Et ce devient encore plus impressionnant quand les palles du moulin tournent à grande vitesse juste sous votre nez. Vous ne voulez absolument pas vous faire botter le derrière par l'un d'elles.

Ca c'était donc hier.

Aujourd'hui retour sur la route et direction Alkmaar pour un autre marché au fromage. Celui-là, on en entend un peu plus souvent parler surtout en raison de ses "livreurs" de fromage. Encore là le décor (et on négocie toujours pour vrai malgré l'image attire-touristes) est charmant et on s'émerveille vraiment devant cette tradition vieille de 400 ans.

Ensuite direction est vers Marken. Un mini village sur une presqu'ile où le temps s'est arrêté. Sur le bord de l'eau tout semble figé. Seuls les résidents y entrent en voiture, celles des touristes étant confinées à l'entrée. On marche au gré des petites rues étroites et au milieu des maisons savemment entretenues.

Avant dernier arrêt à Volendam : le paradis des boutiques en bord de mer. Ce n'est que ça puisque le restant de la ville est quelconque. Mieux vaut reprendre la route et arriver à destination deux kilomètres plus loin à Edam au pittoresque hotel Fortuna qui offre des chambres tout à fait correctes et surtout une table vraiment délicieuse. Edam est en plus un très joli village parcouru par quelques canaux. Des balades à pieds dans les rues calmes et paisibles permettent d'emmagasiner de l'énergie pour la suite du voyage qui sera sans doute un peu plus grouillante puisqu'il ne reste que les deux grandes villes à faire soit à partir de demain Amsterdam et ensuite Bruxelles.

Les observations du jour : gracias pour dire merci ici ne sert pas à grand chose si ce n'est qu'à pimenter la soirée ; les pistes cyclables partout partout partout même au millieu de nulle part ; deux autres québécois à Marken. Bizarre d'entendre l'accent de chez-nous ici. ; Agencement urbain : maisons de banlieue, moutons, maisons de banlieue. Étrange.

La bière du jour : Westmalle trappist double. Bonne bonne bonne.

Le jeu du voyage : on ajoute : Portugal, Autriche, Norvège, Hongrie, République Tchèque.

mercredi 28 juillet 2010

Delft à vélo


Il y a de ses villes un peu innatendues qui deviennent de véritables coups de coeur. Delft figure désormais dans mon top-ville au même titre que Stockholm et Copenhague. Wow !

Vraiment tout dans le centre de cette ville est parfait : l'échelle humaine, la quiétude, le décor, le dépaysement, les vélos. Parce que comme prévu, des vélos il y en a à la tonne. Et quoi de mieux pour découvrir et arpenter les petites rues que de le faire à vélo.

Il y a quelque chose de magique à Delft. À partir du moment où vous traversez le pont vous conduisant dans le centre, l'étincelle se fait. Petites rues bordées de canaux, d'arbres, de quelques voitures, des tonnes de vélos et le calme. En plein après-midi, le bruit le plus désagréable est celui de la clochette de vélo derrière vous ou encore, mais plus rarement, du moteur d'une mobylette.

Et il y a les incontournables du visiteur. Le Het Prinsenhof un musée qui vous permet de voir et comprendre une partie de l'histoire néerlandaise et celle de Guillaume d'Orange. La Oude Kerk (vieille église) où le peintre Vermeer y est enseveli. La Nieuwe Kerk (nouvelle église) où se trouve le mosolé de Guillaume d'Orange et finalement le musée consacré au peintre Vermeer qui, malgré le fait qu'il ne possède aucune oeuvre du peintre (ironiquement Vermeer a vécu toute sa vie à Delft et aucune de ses peintures ne s'y trouve), résume très bien son oeuvre pour le néophyte ou le connaisseur.

Et il y a simplement se promener, se laisser bercer par l'étrange sentiment de bien-être qui vous envahi presqu'automatiquement. Effet vélo ou effet de la ville ? Qu'importe quand ca vous frappe, ca vous fait du bien.

En soit, venir aux Pays-Bas et passer à coté de Delft sans y faire un arrêt de quelques heures serait une grave erreur. Coup de coeur assuré.

Demain, des moulins et Gouda.

Les observations du jour : un cadenas tjrs en place sur un vélo c'est hyper pratique, j'en veux un ; Pouvoir le stationner n'importe où c'est encore mieux ; Ici traverser sur une lumière rouge à vélo peut être réllement périlleux ; Ikea à vélo et en ressortir les bras bien chargés c'est faisable ; Faire du café dans un café n'est vraiment pas facile pour tout le monde, la dame du musée Vermeer a vraiment besoin de pratique ... encore faut-elle qu'elle sache où est le café ... ; Tout le monde à vélo et pas toujours besoin de pédaler pour rouler ... à ce titre je cite monsieur qui "charriait" madame sur le rack à vélo ! Charmant.

Un nouveau pays à la liste : La Suisse.

La bière du jour : Murphy's Irish Red. Rien de typique mais une bonne bière style irlandaise ca fait du bien et elle est brassée à Amsterdam.

mardi 27 juillet 2010

R-Anvers-sant

Retour sur la route aujourd'hui question de combler la distance qui sépare Bruges de Delft aux Pays-Bas. Un trajet de 200 km avec un arrêt prévu à Anvers.

La route, ses milles imprévus (ah un péage pour un tunnel !!) et ses milles indications pas toujours clair. La Belgique la-dessus ne remportera jamais de grand prix pour sa signalisation. Pas toujours limpide, pas toujours là et souvent cachée
derrière des arbres ! Heureusement une fois traversé aux Pays-Bas là plus de problème du moins pour le moment. C'est clair et les distances sont très souvent indiquées nous préparant à tourner au bon moment. Reste que rendu en ville, comme à Delft au milieu des travaux, il arrive parfois qu'on emprunte une rue à contre-sens (honte au conducteur repentant !) sous le regard médusé de deux néerlandais.

Parlant de ces derniers, j'avais lu qu'ils étaient grands et qu'on pouvait se sentir petit. Mais grand comment et par rapport à quoi ? Eh bien pour moi qui fait 5 pieds neuf, je me suis parfois senti
petit. Disons que la majorité des hommes font au minimum plus de 6 pieds et beaucoup de femmes aussi ce qui est beaucoup plus surprenant. On comprend mieux pourquoi ils sont si fort en patin de vitesse longue piste, en natation et au foot. Ils ont des jambes longtemps !

Quant aux visites aujourd'hui elles ont été limitées à Anvers, à la place principale et à trois églises (dont deux fermées !!!). Anvers pour ce que le temps a perm
is d'en voir est une jolie ville avec quelques larges artères. Mais diable que le plan d'urbanisme peut être compliqué pour le nord-américain. Une voie pour entrer dans la ville et le stationnement, une autre pour circuler à gauche, une autre à droite, une pour l'autobus, une autre pour le tramway et parfois tout ca mélangé !

Demain visite de Delft à vélo si le temps le permet parce que ca ... personne ne semble être capable de prédire ce qui s'en vient ...

Les observations du jour : Le porte-clé de l'hôtel à Bruges peut aussi être un objet d'auto-
défense ; Mémé et sa clochette sur sa marchette à Anvers ... ; Première visa refusée dans l'épicerie de Delft ... visa va pas tjrs ... ; un hôtel meublé et décoré par Ikea, le seul au monde, c'est cool et surtout avec le Ikea juste à coté ; l'essence coûte cher aux Pays-Bas, mais pas l'épicerie ( environ 2,15$ le litre et 24$ pour une bière, un gros sac de chips, 1,5 l de thé glacé (pétillant!!!), un sac d'arachides enrobées, un pain, un pot de margarine (qui logera dans ma bibliothèque de voyage parmi les autres excentricités), deux gros biscuits aux amandes, un gros fromage, deux grosses salades, une au poulet et une au bacon, un litre de jus d'orange, un 500g de yogourt, un paquet de viandes froides et 2 canettes de Fanta au cassis !!) Essayez de faire mieux chez Super C !!

Les pays du jour et ceux d'hier : on ajoute : Roumanie, Luxembourg, Principauté de Monaco, Estonie, Lituanie, Pologne.

La bière du jour : Affligem Tripel. Une bonne bière d'abbaye pour se remettre d'une journée stressante au volant !

lundi 26 juillet 2010

La plage

Après avoir finalement gravi les 366 marches qui mênent presque tout en haut du beffroi de Bruges et se ravir devant la petite basilique de Bruges toute en couleurs, retour à la voiture et direction Ostende à 20 quelques kilomètres plus au nord.

Ville quasi balnéaire du nord de la Belgique, elle attire les amoureux de la plage. Et c'est elle qui attire vraiment à Ostende.
Sans être dépouvue de charme, les rues pietonnières avec les maisons à l'architecture un brin espagnol et colorée valent tout de même le coup d'oeil, c'est le long de la plage qu'Ostende vaut le détour. Une large bande de sable baignée par la mer du Nord qui est frette pour les premiers orteils. Mais une fois trempés, ils y prennent goût. Le bord de mer est majestueux avec les immenses vitres des appartements surement très cher loués. Reste aussi le petit port avec les voiliers.

Une journée plus tranquille avec un souper sur le bord de la mer (wow la crème bavaroise aux pistaches et framboises ... y'a des épiceries qui offrent du luxe pour les papilles!) et qui s'est terminée par un petit détour vers Damme, village situé à 5 km de Bruges. Mignon, tranquille et on y va parait-t-il pour les bonnes tables.

Demain, retour sur la grande route et on quitte la Belgique pour gagner les Pays-Bas non pas sans avoir fait un petit arrêt à Anvers. Prochain arrêt : Delft.

Les observations du jour : kossé ca un coq sur le bord de l'autoroute ? ; Un casino belge ressemble plus à une salle de video poker de bar extra-grande (et le casino de Ostende est le plus grand de Belgique !!) et c'est hyper réglementé. Faut montrer sa carte d'identité, remplir un formulaire avec noms et adresse et ressortir sa carte pour mettre de l'argent sur sa clé. En boni, c'est fumeur. 5 euros de perdu dans l'aventure ; Mami à trotinette ... Mami cool ; des lapins dans un parc ... cute ; Les maringouins sont vites en ... ; Les barquettes de fruits de mer à Ostende sont pas chères et fort bonnes.

La bière du jour : Mort Subite kriek. Miam, une bonne lambic aux cerises. Les lambics sont des bières de fermentation spontannée qui sont exposées à l'air libre et ensemensées par des levures sauvages. Cela donne des bières au goût plus amer et c'est pourquoi souvent, elles sont aromatisées aux fruits comme la kriek aux cerises. On en voit aussi à la pêche, à la framboise et même à la banane !

dimanche 25 juillet 2010

Dimanche à Bruges

C'est sous un ciel mi-gris mi-bleu que la visite de Bruges s'est fait aujourd'hui. Une toute petite ville mais qui regorge de petits coins charmants où il faut mettre le pied.


Le Markt, la place principale, est situé en plein centre et est inconditionnellement le
lieu de rassemblement avec le Burg. Point central du Markt, le Beffroi monument tout
en hauteur, symbole de la ville, qui servait à son origine de vigie
pour surveiller les feux qui pourraient éclater dans la ville. Aujourd'hui, il sert toujours de symbole mais permet plutôt aux visiteurs d'avoir un point de vue unique. Ceci dit, la visite n'aura lieu que demain.

Le Burg est une place spectaculaire de Brugge avec l'Hôtel de ville et l'entrée discrète de la Heilig Bloedbasiliek. Ensuite il faut prendre l'entrée de la porte (spectaculaire) et aller se promener le long du canal.

Ce qui est agréable à Bruges c'est qu'une fois rendu au centre, tout est proche et tout est une découverte pour l'oeil. Et toujours la possibilité de prendre des rues, ruelles toujours différentes pour vous rendre d'un point A à un point B pour revenir au point A.

Et bien sûr, Belgique oblige, la bière et le chocolat fusent de toute part. Odeurs chocolatées ici, odeurs houblonnées (j'appris que le houblon est dans la même famille de plante que le cannabis ... ca explique bien des choses quand on déguste une bonne bière), les sens olfactifs sont en ébulition à chaque coin de rue.

Demain, Ostende et la cote belge.

La bière du jour : Jupiler. Une bière de grandes surfaces genre Labatt bleue. Juste correct pour accompagner un souper. J'en ai une autre qui attend que l'on trouve un ouvre-bouteille. Pas facile étrangement de trouver ca ici. Tout comme une épicerie.

Le chocolat du jour : Mure et gingembre de marque Cachet. Doux, légèrement amer. Un vrai
délice.

Les observations du jour : Les moumouttes belges font vraiment dur ; regardez où vous mettez le pied ; impressionnant de voir les voitures foncer à si grande vitesse dans de si petites rues en contournant piéton, vélo, cariole ; officiel nous ne sommes pas les seuls québécois ici.

Le jeu du voyage : les plaques de voitures de de différents pays. Le but : essayer d'avoir un panorama automobile de tous les pays d'Europe. Après deux jours : Belgique, France, Pays-Bas, Danemark, Grande-Bretagne, Suède, Finlande, Italie, Russie,

samedi 24 juillet 2010

Jour 1 - Montréal - Bruges

Légèrement décallé après un souper finalement pris dans un resto dont je n'ai aucune idée du nom et qui nous a offert et chargé un verre de vin blanc non désiré mais au demeurant très bon tout comme le reste, la carbonade flamande et les filets de poulet. Et que dire de la bière ! Ah nectar divin qui vient à rescousse du décallé épuisé.

La journée avait commencé hier avec le décollage tout en douceur et son vol plané jusqu'à Paris. Arrivée heure de Paris, 10h15. En avance. Le temps de récupérer la fort jolie voiture (une Méganne de Renault pour les intéressés), midi trente sonne et nous voici sur la A1 en direction de Lille puis de Bruges dont nous avons manqué la sortie parce que trop mal indiqué. D'ailleurs c'est la constatation du touriste du jour. Que diable pensent les générateurs de pancartes pour aider ceux qui sont nouveaux à essayer de s'y retrouver ? Où aller pour la location de voiture ? Où sortir vraiment pour aller à Bruges ? Où le foutu numéro de route ? C'est quoi la vitesse permise ? 130 finalement sur une bonne partie du trajet ... Agréable sensation pour le peupère que je suis et son 95 sur l'autoroute habituellement. Finalement, on finit par tout trouver au prix de quelques efforts supplémentaires.

Nous longeons à l'hôtel Cordoeanier à Bruges. Charmant, tranquille et situé à 100 m du centre de la ville (situation idéale) et chambre toute petite mais qui fait amplement la job. Sauf pour le stationnement. Nous avons du laisser la voiture à la gare dans le stationnement prévu à cet effet. En espérant qu'elle y soit encore dans les prochains jours.

Quoi donc de vu aujourd'hui ? Simple visite de repérage (entre autre d'une épicerie et pas vraiment trouvée encore ...). Demain nous offrira Bruges dans ses moindres racoins.

C'est le temps du dodo question de se récaller un peu.

En terminant :

La bière du jour : la Brugse Zot. Fort bonne. Douce avec un soupçon fruité. Bon début.

Le chocolat du jour : la Kit Kat. Pas eu le temps pour plus.

Les obversations du jour : Julie-Amandine est un prénom qui ressemble plus à nom de couleur de peinture. Vu le sosie de Damien Robitaille. Chanter à tue-tête les chansons de ce dernier sur la A1 en traversant Lille. Le hinois est une langue difficile à comprendre.

vendredi 23 juillet 2010

Départ

Voilà tout est prêt. Reste à mettre les cadenas sur les valises et à sauter dans l'autobus de Longueuil puis de faire l'expérience de l'autobus 747 de la STM pour se rendre à PET !

Reste à ne rien oublier non plus : ronds du poêle, clés dans la serrure, fenêtres grandes ouvertes, voisin, armes nucléaires, vestiges iroquois et barres tendres.

Go les jambes, on se rejase de l'autre coté de l'Atlantique quelque part demain à Bruges.

AJOUT : Finalement au yâbe l'autobus de Longueuil et vive le métro de Mourial et l'étaubus 747.

mercredi 14 juillet 2010

Le départ s'en vient

Wow quelques mois voire une année sans rien publier ici. Fallait bien un voyage pour reprendre l'écriture et partager avec vous les futures découvertes.

Ouaip, départ prévu, à moins de catastrophes monstres, le vendredi 23 juillet à destination de Paris pour aller rejoindre la Belgique destination initiale de ce voyage qui se prolongera du coté des Pays-Bas nouveaux vice-champions de la Coupe du monde de foot. Retour prévu le lundi 9 août depuis Paris aussi.

Pourquoi Paris départ et arrivée? Simple. Quelques 200 dollars de moins que Bruxelles-Bruxelles, près de 500 de moins que Amsterdam-Amsterdam et 150 de moins pour un Paris-Bruxelles ou l'inverse. Le choix est devenu tout simple. Moins de 900$ le billet. Pas mal. L'idée est encore de chercher et de consulter de nombreux sites pour avoir le meilleur prix. Nous avons finalement trouvé le meilleur prix directement sur le site de Transat.

Reste les autres impondérables. On se déplace comment, on loge où ? Le "déplace comment" a été plus compliqué. Ne conduisant que de façon automatique, le vieux continent n'offre que peu de choix de ce coté et lorsque c'est le cas, les coûts explosent. Souvent le double. Pour vous donner une idée 11 jours pour une Golf automatique coûteront plus de 800$. La même voiture à transmission manuelle : 425$. Le meilleur prix nous fut donner par Autoeurope . C'est un grossiste de location de voitures partout à travers le monde. Bon prix, bon service, pour le moment bien que la réponse finale ait un peu tardé créant un p'tit stress insomniaque.

L'autre impondérable, le logement. Les hôtels plus traditionnels, les plus petits difficiles à trouver, les beds, que du choix. Pour un choix simple et efficaces les sites expedia.ca et booking.com vous permettront de trouver rapidement quelque chose de convenable. Pour des choix plus mystérieux, moins populaires et plus proche de gens, rien de mieux que les guides : Routard, Lonely Planet, Petit futé. Les aubaines et les découvertes y sont réellement nombreuses et très certainement mémorables. On vous en reparlera. Encore faut-il avoir la patience de lire tout ces petits caractères et faire les recherches sur le web par la suite. Nos choix sont un amalgame de tout ca. Je vous reparlerai une fois sur place des choix que nous avons fait.

Une fois tout ca réglé. Reste à faire les valises. Prochain billet, quelque part la semaine prochaine ou encore pas loin de Bruges premier arrêt belge.