vendredi 7 juillet 2006

Il le fallait bien, en ce vendredi chaleureux de juillet qui, cette année, arrive le 7, que je fasse mention des deux gentils Messieurs (en fait j'écris gentil sans trop savoir s'ils le sont vraiment, j'imagine seulement qu'ils le soient) qui m'ont incité à commencer ce blogue terrestre.

Le premier, celui du haut, se prénomme et se nomme Matthieu Simard. Vous pouvez le lire ici www.matthieusimard.com
ou ici sur son blogue Procastinator : le blog
ou encore ici sur l'autre blogue, celui de Canoë ... me coucher moins niaiseux.

Vous pouvez aussi le lire dans le Journal de Montréal le vendredi.

Qui plus est, vous pouvez emmener Matthieu Simard avec vous en vacances et vous délecter la cervelle de ses histoires puisque vous pouvez vous procurer l'un de ses trois livres dans une bibliothèque ou une librairie plus ou moins loin de chez-vous et publiés chez Stanké.

Échecs amoureux et autres niaiseries
Ça sent la coupe (livre que j'ai conseillé à quelques élèves du genre masculin pour qui la lecture est presque qu'une torture et qu'un collègue prof de français a fait aussi (salut Benoit) et qui a engendré des réactions du genre : "Mah Monsieur c'est super bon !! Y'as-tu une suite ?" - "Cool, j'pensais que ça pouvait être le fun un livre!".)
Douce Moitié
et un nouveau à venir en septembre.

L'autre gentil monsieur, c'est celui ci-dessous. Il pour nom et prénom, comme c'est indiqué à la gauche de ses yeux, Jean Dion. C'est mon père qui me l'a fait découvrir il y a déjà quelques années. Depuis, je ne peux plus m'en passer. Vous pouvez le lire dans le journal Le Devoir quelques fois par semaine et si vous n'avez pas d'éditon papier, lisez-le en ligne sur le site du Devoir.


Voilà pour les hommages du jour. C'est un peu de leur faute si vous lisez ceci.

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