Je vous l'avais promis alors voilà. Rendons hommage à ces braves et à ces braves de même qu'à leurs maintenant douloureux muscles, qui ont réussi, après des heures et des heures et des roches et encore d'autres roches ainsi qu'après quelques boîtes de thon, à relever le défi de parcourir les sentiers qui les ont conduits puis tenus de plus en plus loin du Mont Washington, montagne américaine reconnue pour ne pas faire de cadeaux météorologiques (d'autant qu'elle ne connait ni Noël, ni la p'tite chanson que l'on se chante tour à tour au gré des ans !).
Fort heureusement pour eux (pour moi aussi bon ok j'avoue), si cette dernière est peu généreuse, elle peut parfois compter sur la clémence de Dame Nature. En effet, durant les vingt-quatre heures que dure une journée (fait relativement nouveau, tout comme la semaine des quatre jeudis), elle a donné, l'espace de 50 petites minutes, en la journée du 27 juin, le temps de voir le ciel bleu tout au dessus de son sommet. Comble de bonheur l'une de ces minutes a servi à prendre cette pose des miraculés (que vous pouvez confortablement les observer ci-haut dans le confort de votre divine chaise d'ordinateur dont la provenance ne nous aide guère lors d'une évaluation psychologique servant à prouver que vous êtes, ou ordinophobe ou ordinosaure).
Maintenant que les orteils ont trempé, que les vents ont passé (nous avions tout de même peine à certains moments à tenir debout devant les vents constants de 90 km/h.) , que les serviettes ont séché et que les efforts ont été récompensés, l'ÉtÉ (avec deux grands E ça fait plus impressionnant) peut officiellement commencer. Les vacances aussi. Yessssss !! Bonnes vacances les poussinots !
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