dimanche 25 juin 2006

Le lendemain est toujours le 25


Pas croyable quand même que, dans la vie d'un calendrier, le lendemain du 24 juin soit toujours le 25 juin. D'une minute à l'autre, les drapeaux fleurdelisés seront rapidement remis dans leur placard pour une autre année. On aura déjà commencé à oublier de se souvenir et toute les traces de fête seront éliminées comme si après le 24, il était honteux de porter et de célébrer le bleu et blanc. Déjà, on pensera à ce que l'on fera la semaine prochaine (sûrement un déménagement, l'autre fête nationale) en oubliant rapidement, le pourquoi de la fête que nous venons de célébrer.
Mais quand même, cette St-Jean laissera un doux souvenir dans le coeur d'un mauzus de grand p'tit bonhomme. La vedette de la soirée (du spectacle des Maskoutains mon ancienne patrie d'adoption l'instant de flâner au cégep), un certain Daniel Boucher, a eu la chance de sa vie en revoyant mon filleul (le plus petit sur la photo) ! Ce dernier en a profité pour demander à Daniel Boucher (après l'avoir si longtemps espéré de sa très puissante petite voix) : "Comment ca va?" L'expression du chanteur disait tout : "Ca va bien mon bonhomme !" Quand on est Big à trois ans, on est BIG !!

Cela étant écrit, il est maintenant temps pour moi de retourner à la préparation des besoins primaires, secondaires et tertiaires pour la sortie qui me conduira mardi au sommet du Mont Washington. Et flûte de girouette empaillée, ils annoncent des larmes de crocodiles météorologiques pour les trois prochains jours !! À vos abris. Je vous ferai le compte rendu à mon retour (si je reviens ... je pourrais toujours me faire enlever par un gros moustique américain, wouahhhhhhhh !).


Le mot inutile du jour : paraskevidekatriaphobie (nf) : phobie du vendredi treize. (Merci Geoffroy pour la crampe de cerveau)

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