dimanche 24 septembre 2006

Vrac et bottines

Ainsi le dimanche soir se passe-t-il. Avec le retour de Tout le monde en parle, on ne peut, en soit, se résoudre à ne pas en parler. Et le meilleur de la soirée, c'est Gagliano qui nous l'a donné. Le meilleur ou le pire, je ne sais plus trop puisqu'il nous a livré le discours que nous attendions tous, soit celui du "c'est pas moi c'est l'autre", "c'est pas moi qui ai commencé", ne manquait que "celui qui le dit, celui qui l'est". Les réponses un tantinet évasives, les yeux qui louchent qui regardent partout (et c'est bien connu les mouches sont légions dans le studio de TLMEP et il devait y en avoir plusieurs tellement il regardait en l'air) signe souvent d'un certain malaise voir d'un mensonge (ou d'une grosse menterie). Il avait une chance de penser de nous faire croire ce qu'il prêchait. C'est raté.

Pendant ce temps, le vent écornait le boeuf (au moins cette fois mon Tempo n'était pas en fonction alors pas de danger de le voir s'envoler à nouveau) et les soirées du samedi à Sherbrooke nous projette des images lugubres dignes des soirées d'halloween.

Me restait seulement, au retour, à terminer la lecture (enfin) d'État d'urgence de Micheal Crichton, finir mon tricot, me mettre à jongler avec des écrevisses jaunes et écrire ici. Pas mal.

Quoi d'autres ? La saison des Boys est lancée. Les ti-mousses de fin de secondaire sont mieux de se préparer sérieusement. Une autre grande partie en perspective. Et la très inutile Loft Story est de retour. Fallait que j'en écrive.

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