Ça y est, j'ai réintégré mon unique bureau d'érable. Poussiéreux un peu, juste assez pour que je passe un linge pour me muscler l'avant-bras droit et le faire reluire de nouveau. L'heure du retour au travail a sonné.
C'est toujours étrange de reprendre la route du boulot. Celle que je connais par coeur mais que je redécouvre à chaque année à la mi-août. Depuis 5 ans, la première journée, je fais exprès de me lever encore plus tôt qu'à l'habitude question d'arriver à l'école avant tout le monde et de pouvoir partir à la découverte des nouveautés des corridors en me promenant tranquillement café tiède à la main. Cette année n'a évidemment pas fait exception mais je me suis fais prendre de vitesse. Comme les travaux entrepris au début de l'été ne sont pas complétés, les ouvriers sont toujours à l'oeuvre et ma directrice était déjà là. Zut.
Passons d'école privée à l'école du tennis. J'avais écrit mardi : "Demain, Kim Clijters. Pourquoi pas" en écrivant sur la prochaine adversaire de Stéphanie Dubois. Dites-donc, je ne pensais pas viser si juste. Vrai que la chance (ou la malchance pour Kim) a fait changer l'issue du match mais quand même, on sentait au début de la deuxième manche que Stéphanie accrochait plus sérieusement Clijters. Ce n'aurait probablement pas été suffisant mais le sort en a décidé autrement. Tant mieux pour elle, même si le conte de fée est désormais terminé.
Quant à Marie-Ève Pelletier, dommage qu'elle n'ait su conclure puisqu'elle serait encore sur le court central aujourd'hui. Belle bataille.
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